Elle a 5 ans. Elle, c’est Mona. Elle apparaît dans un petit trait de lumière et nous voilà complices d’une vie qui se déroule, qui s’enroule, qui s’emmêle et qui s’envole. Une vie qui tangue, une vie qui se joue de nous, avec et autour de nous.
Mona joue, Mona tangue, Mona doute, Mona crie, Mona vit.
Et si tout cela n’était qu’un grand manège !?!

…le grand manège de la vie qui s’écoute fort !

Un spectacle empreint d’échappées belles, de bousculades et d’imprévus laissant la douce trace d’une vie transmise avec rire et poésie…

Un spectacle en équilibre sur un fil tangible, jonglant avec l’absurde et l’intime, l’émotion et le rire… et qui résume délicatement cette question du temps qui file, nous obsède et nous échappe.
Le temps passe, et la roue tourne… et le manège s’anime… comme un joli pied de nez au temps qui s’envole, dans un éternel recommencement. Et puis la Vie s’agite et avec elle des figures de personnages qui se croisent et se décroisent avec espièglerie, malice, tendresse, insolence, révolte, magie, merveille et jeu d’enfants…

Écriture et mise en scène : Vincent Martin
Écriture et Jeu : Cécile Thevenot
Régie technique : Adrien Gusching
Scénographie : Valérie Cerutti
Technique et Scénographie : Lionel Guingrich
Vie et magie du décor : Michel Thevenot
Clin d’œil musical : Marie Piro
Contact Diffusion : Mylena Profit

Dans cette usine de briques rouges, entre vieux métal rouillé et engrenages, Lulu petit bonhomme rond et souriant, ouvrier héritier d’un Chaplin des temps muets, fabrique des crayons. Mais entre roulements à billes et mécanique farfelue, il va devoir suivre le mouvement, emporté par la cadence effrénée d’une mondialisation sans pitié, dans une course folle qui se heurte à l’humain avec ironie. 

Suivez ce petit bonhomme dans cette fresque burlesque et loufoque qui nous plonge dans les rouages absurdes du monde du travail !

Créé en 2011, ce spectacle a pour thématique « le monde du travail » avec toutes ces difficultés liées aux politiques de la mondialisation, traitée dans l’univers que la Cie s’attache à défendre depuis ses débuts, entre théâtre, gestuelle et poésie.

Écriture et mise en scène : Lionel Guingrich
Jeu : Cécile Thevenot
Création musicale : Jean Michel Vaicle
Scénographie : Lionel Guingrich et Caroline Ballet
Technique et vie de la machine : Michel Thevenot
Costumes : Eléonore Daniaud
Maquillage : Justine Valence
Création lumière et régie : Benoît Fabry
Photo : Franz’ Leclerc
Affiche : Jean Charles Blesch
Diffusion : Mylena Profit

AGENDA : voir et revoir « L’étau moderne »
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Un p’tit bout de maison au coin d’une rue, immobile… comme ce p’tit bout de femme qui l’habite.
Elle nous entraîne dans son quotidien fait de solitude et de petites manies…
qui nous rappelle étrangement quelque chose… Un voisin ? Ou nous-même ?
Le temps passe et se grise… Et puis, un jour, y’a un truc qui cloche ! Et la clenche se tourne vers le dehors…
… poésie et rire chassent alors cette drôle de solitude dont on n’ose plus sortir !

Osez pousser la porte de cette cabane astucieuse,
au personnage mordant et drôle !

Un spectacle théâtral muet, mordant et drôle… où le grinçant du monde se mélange au grincement des portes qui n’osent plus s’ouvrir pour aborder le thème de la solitude avec rire et tendresse…

Écriture et mise en scène :  Lionel Guingrich
Jeu : Cécile Thevenot
Scénographie : Lionel Guingrich
Création musicale : Jean Michel Vaicle
Création lumière : Benoît Fabry
Régie technique (en alternance) : Adrien Gusching, Viviane Descreux, Marie-Jeanne Assayag Lion
Photo : Francis Beurrier, Franz’ Leclerc
Affiche : Jean Charles Blesch
Contact Diffusion : Mylena Profit

AGENDA : voir et revoir Y’a queq’chose qui clenche…
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Une pub ! Et voilà Lillette Canneberge entraînée dans une course à la beauté sans pareil !

Entre régimes draconiens, sport intensif, recettes de beautés en pagaille pour un relooking total, elle va travailler sur son apparence pour rentrer dans la norme ? Mais jusqu’où ira-t-elle ? … s’oublier elle-même ? 

En dressant le portrait d’une société du superficiel, une manière drôle d’alerter et de faire comprendre l’importance de l’acceptation de soi.

Laissez vous saisir par cette satire burlesque et déjantée qui questionne le culte du corps, le poids des apparences et le diktat de la beauté dans notre société !

Un spectacle théâtral muet et burlesque conçu aussi pour l’espace public.
Au cœur d’un parc ouvert sur la verdure, au milieu d’une cité face à la haute immensité des murs, ou encore installée sur un trottoir, à un carrefour ou au coin d’une rue, la scénographie de « Appât Rance », se pose là et vient questionner celui qui passe ou s’assoit.
Une cabane de plage ou de pêcheur ? Une remise à outils ? Un castelet ? Un cabanon à toilettes sèches ? Installée au cœur de l’espace public, cette petite cabane provoque alors la rencontre du personnage qui l’occupe avec les habitants des environs, qui deviennent ainsi, en une seconde, les spectateurs insolites d’un quartier, de leur quartier…

La captation vidéo complète du spectacle est disponible dans sa version salle sur demande. Contactez-nous !

Écriture et mise en scène : Lionel Guingrich
Jeu : Cécile Thevenot
Création musicale : Jean Michel Vaicle
Scénographie : Lionel Guingrich et Caroline Ballet
Technique et vie du décor : Michel Thevenot
Costumes : Eléonore Daniaud
Création lumière : Benoît Fabry
Régie technique (en alternance) : Adrien Gusching, Viviane Descreux, Mathis DesaintMartin
Affiche : Jean Charles Blesch
Photo : Ronan Joncour

AGENDA : voir et revoir Appât Rance
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voir et entendre La Micro-Interview de Cécile Thévenot >> CesArts Mag